A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes de 2024, célébrée sous le thème « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme », le Haut-Commissariat au Plan contribue à l’hommage rendu aux femmes par la publication d’un éclairage sur leur situation au Maroc, portant sur les inégalités salariales de genre et le rôle de la discrimination sexiste.
Les inégalités salariales entre hommes et femmes se définissent par le gap de rémunération entre les deux sexes, mesuré en termes d’écart de leurs salaires moyens et exprimé en pourcentage des gains salariaux des femmes. Ce gap exprime la proportion par laquelle il faudrait augmenter le salaire global des femmes pour égaler celui des hommes.
Les analyses factuelles du marché du travail montrent que ces inégalités sont fortement corrélées à la position occupée dans la hiérarchie des salaires et à de nombreux attributs individuels dont particulièrement le niveau d’éducation, l’expérience professionnelle, la catégorie socioprofessionnelle ou l’âge. A ces attributs individuels s’ajoutent des facteurs relatifs à la discrimination sexiste selon laquelle, à qualification égale, les femmes salariées perçoivent, en moyenne, un salaire systématiquement inférieur à celui des hommes.
Les inégalités salariales entre hommes et femmes se définissent par le gap de rémunération entre les deux sexes, mesuré en termes d’écart de leurs salaires moyens et exprimé en pourcentage des gains salariaux des femmes. Ce gap exprime la proportion par laquelle il faudrait augmenter le salaire global des femmes pour égaler celui des hommes.
Les analyses factuelles du marché du travail montrent que ces inégalités sont fortement corrélées à la position occupée dans la hiérarchie des salaires et à de nombreux attributs individuels dont particulièrement le niveau d’éducation, l’expérience professionnelle, la catégorie socioprofessionnelle ou l’âge. A ces attributs individuels s’ajoutent des facteurs relatifs à la discrimination sexiste selon laquelle, à qualification égale, les femmes salariées perçoivent, en moyenne, un salaire systématiquement inférieur à celui des hommes.